
Alain Béguerie - Photos
& collectif d'auteurs
Mythes d'Alios
Ce qui est friable et qui va s’effacer échappe paradoxalement au temps.
Les œuvres ont donc un pouvoir de narration par les fantômes qu’elles proposent. L’être s’y déploie, vague dans le sans-limite, pour un temps assemblé et sorti du plus reculé, du plus enfoui. Cette substance n’est plus qu’un œil que celui des écrivains invités regarde pour pénétrer le plus enfoui, atteindre le dedans du dedans, là où s’offre paradoxalement une lumière de la connaissance par les joyaux des plus altérables."
Jean-Paul Gavard-Perret - lelitteraire.com

Mythes d'alios
Photographies
d'Alain Béguerie
& collectif d'auteurs
collection d'art & d'autres
photographie / littérature / poésie
Mythes d'alios
format du livre 15 x 21 cm
80 pages
ISBN 978-2-9540904-1-2
septembre 2017
Pour cette première édition
de la collection, sont réunis les textes
de vingt-neuf auteurs qui ont répondu
au photographe Alain Béguerie.
Chacun, en regard de l'image qu'il a choisie, élabore de nouveaux mythes et insuffle aux pierres d'alios, cueillies par le photographe "sculpteur", des vies insolites et éphémères.

Alain Béguerie, photographe
vit et travaille à Bordeaux.
Il collabore avec diverses maisons d’édition sur des thèmes aussi variés que le rugby, la peinture, l’architecture.
Citons, entre autres :
La friche, éd. 5vs5, 2017
Le peuple de pierre, histoire des mascarons de Bordeaux,
éd. l’Horizon Chimérique, 2016
Bordeaux Regards,
éd. Sud-Ouest, 2016
Par ailleurs, il mène une recherche sur le paysage
et la représentation des plantes.
Plusieurs expositions ainsi que deux publications en sont le fruit :
La Flore et ses paysages en Médoc, éd. La part des anges, 2002
Un herbier, éd. Confluences, 1998
édition courante - 20 € (disponible )
+ participation aux frais de port / poids 200 g
25 exemplaires du livre sont accompagnés d'une photographie originale numérotée et signée par le photographe.
édition de tête - 60 €
( 9 exemplaires disponibles - nous contacter )
Presse
(...) L’hymen conjugué des « pierres» assemblées, de leurs photographies et des textes soulève et emporte au-delà de l’instant. Se dégage de l’ensemble une sorte de paix. La vague des textes se dépose au pied des pièces brunes, lisses et en concrétion de l’ordre des cristaux. Mais ce qui est friable et qui va s’effacer échappe paradoxalement au temps.
Les œuvres ont donc un pouvoir de narration par les fantômes qu’elles proposent. L’être s’y déploie, vague dans le sans-limite, pour un temps assemblé et sorti du plus reculé, du plus enfoui. Cette substance n’est plus qu’un œil que celui des écrivains invités regarde pour pénétrer le plus enfoui, atteindre le dedans du dedans, là où s’offre paradoxalement une lumière de la connaissance par les joyaux des plus altérables."
Jean-Paul Gavard-Perret



