Déjà parus

Emmanuel Régniez - Texte
Cédric Friggeri - Photographies
ORDINAIRE(S)
vingt-quatre chants
« Saisir le quotidien dans ce qu’il a de plus simple, de plus évident »
"Emmanuel Régniez tient ses promesses. Il est entré en littérature par la voie de l’exigence, et il ne dévie pas de sa route. Nous venons de ranger Ordinaire(s), son dernier opus, sur les rayons de notre bibliothèque, et nous savons déjà qu’elle risque fort de ne pas en sortir indemne."
"Les photographies, tirages Lith sur papier baryté, sont l’œuvre de Cédric Friggeri, et répondent aux textes de Régniez avec tact et justesse : l’apparente simplicité de leur sujet, l’indécision délicate de leur grain, l’aspect fusain profond, les énigmes qu’elles posent."
Le Carnet et les Instants - Le blog des Lettres belges francophones

Allain Glykos - Texte
Francis Limerat - Dessins
Égéennes
« chaque île est un point de fuite pour qui n’a pas de perspectives ».
Car depuis quelques années ceux qui y appareillent ne cultivent que sobrement l’espoir. Il reste hypothétique et il s’agit avant tout de tenir jusqu’au soleil couchant et plus avant dans le nocturne.
De seuil en seuil demeure néanmoins l’attente. Elle est, là, de toujours. Au milieu du flot et du flou des êtres humains et du monde. Chaque île reste donc celle d’un mystère. Pourquoi est-il inexprimable sous peine de le faire mourir ?
Jean-Paul Gavard-Perret - lelitteraire.com

Alain Béguerie - Photos
& collectif d'auteurs
Mythes d'Alios
Ce qui est friable et qui va s’effacer échappe paradoxalement au temps.
Les œuvres ont donc un pouvoir de narration par les fantômes qu’elles proposent. L’être s’y déploie, vague dans le sans-limite, pour un temps assemblé et sorti du plus reculé, du plus enfoui. Cette substance n’est plus qu’un œil que celui des écrivains invités regarde pour pénétrer le plus enfoui, atteindre le dedans du dedans, là où s’offre paradoxalement une lumière de la connaissance par les joyaux des plus altérables."
Jean-Paul Gavard-Perret - lelitteraire.com

Thierry Michelet - Polaroids "retouchés"
Marie-Paule Bargès - Texte
Polaroids Polaroids
Polaroids Polaroids est le dialogue
de deux œuvres indépendantes l'une de l'autre, qui valent l'une sans l'autre, éloignées à la fois par le temps et le lieu de leur conception,
et dont les auteurs s'ignoraient. Deux œuvres qui se parlent de loin mais se comprennent de près. Ce qui constitue très exactement à la fois
le propos de l'auteur dont le texte entrecroise deux voix qui se parlent à distance, mais aussi le dispositif du peintre-photographe qui établit qu'un même instantané suscite deux histoires, deux visions. Ils instaurent ainsi une conversation improbable, à laquelle
se mêlent deux figures tutélaires,
Joseph Beuys pour l'un et Victor Hugo pour l'autre.
Ce recueil scelle les retrouvaillesde deux œuvres jumelles, ignorantes jusqu'alors de leur gémellité, qui se sont reconnues dans leur double.
Et qui résonnent.
éditions marges en pages - Paris - contact : margesenpages@gmail.com